The Hundred Year Kingdom, c’est gérer une civilisation sur 100 ans avec l’aide d’une waifu antique! Amaterasu, Inanna, Arianrhod, Gaia ou Freya!
The Hundred Year Kingdom?
Imaginez un monde sans barbares, sans soucis, sans diplomatie!
Sans Gandhi qui vous balance des bombes nucléaires (car vous êtes l’inventeur de la pizza à l’ananas).
Et bien The Hundred Year Kingdom, c’est ça. Cela m’intrigue fortement car sans anomalies ou soucis, quelle est la difficulté du jeu?
Chorus Worldwide est un studio indépendant qui a eu l’idée de faire ce jeu sympathique et reposant!
Détail important sur ce jeu, il sera en anglais, chinois et japonais pour le moment (donc si vous n’êtes que francophone ou autre, aie aie caramba). Mais bon en soi, il n’y a pas de très longs textes, donc cela peut rester compréhensible, je pense!
D’ailleurs parlons du jeu, plus précisément.
The Hundred Year Kingdom se déroule sur damier de 36 cases, 6 en hauteur et 6 en largeur.
Pendant chaque tour, vous ne pouvez que construire ou améliorer une case.
Imaginons que pour produire et améliorer les 36 cases, il vous faudra déjà 72 tours (et donc 72 ans).
Et comme le jeu s’appelle The Hundred Year Kingdom, vous n’avez que 100 ans.
Le jeu repose sur trois ressources.
La nourriture, la production et la culture.
Certains bâtiments produisent de la culture, d’autres de la production (et parfois les deux). Les bâtiments produisant de la culture (les villages, villes etc…) semblent ne rien produire d’autre.
Il est clair que certaines cases seront peu améliorées, là où d’autres auront des monuments (comme le phare d’Alexandrie).
Bien entendu, vous allez recevoir des offrandes (offering).
En gros, le jeu à une sorte de système de succès pour chaque partie.
Le premier farmland crée vous octroiera donc une offrande de nourriture (en terme de nourriture produite par tour). Sur le long terme, cela peut offrir un bon boost.
Après, il existe des cases spéciales comme cela de la Montagne. Qui semble booster les cases voisines ne terme de culture (il va donc bien falloir caser les constructions entre elles).
On ne peut pas choisir sa construction sur certaines cases spéciales comme celle-ci et il y’a d’autres cases qui vous obligent à faire telle ou telle construction (comme les villages par exemple).
De nombreux bâtiments dans The Hundred Year Kingdom
Vous voyez Fire Emblem?
Un cavalier peut devenir un cavalier pégase ou un cavalier wywern et par exemple, les deux évolutions ont deux autres évolutions?
The Hundred Year Kingdom, c’est exactement la même logique. Mais avec une arborescence plus grande avec plein de choix.
Un lopin de terre (plains) peut devenir une terre agricole (farmland produisant de la nourriture) ou une mine (produisant de la production).
La terre agricole peut devenir un domaine agricole (farm estate) ou un vignoble (winery).
La mine peut devenir une carrière (quarry produisant que de la production) ou un atelier (workshop qui produit de la nourriture et de la production).
Et l’atelier peut devenir une usine ou une librairie (library qui produit de la production et de la culture).
Donc si en plus, vu le cas de la Montagne au dessus, on doit bien placer les constructions entre elles ou qu’il existe des synergies entre certaines constructions, un vrai boulot nous attend.
Surtout sur des cartes générées aléatoirement!
Je vous rassure, je ne vais pas vous divulgâcher tous les bâtiments du jeu.
Sachez cependant qu’il existe aussi des monuments légendaires.
Par exemple, la roue à eau (Water Wheel) peut évoluer en deux des sept merveilles du monde.
Soit le phare d’Alexandrie soit les Jardins Suspendus de Babylone!
Je n’ose imaginer la difficulté pour créer les sept merveilles du monde en un seul siècle!
Mais justement, le problème semble être la difficulté.
Est-ce les bâtiments vont se détériorer? Ou qu’ils auront des bonus/malus selon les maps? Oui, le jeu aura différent biomes!
Car sinon, j’imagine que le jeu sera facile une fois que l’on aura un schéma.
Quand je dis schéma, je veux dire un plan de jeu à toutes les parties.
Du style, je fais 5 fermes, puis 5 mines etc… par exemple.
5 Divinités seront présentes pour vous accompagner
On a pu découvrir Amaterasu, la divinité japonaise que les fans d’Okami connaissent déjà.
Elle nous a guidé durant ce tutoriel.
Mais on a aussi:
- Inanna, plus communément connue sous le nom d’Ishtar! Que vous pouvez apprécier dans Tower of Druaga.
- Gaia, beaucoup moins rabougrie que dans God of War.
- Freya, qui n’est malheureusement pas un chevalier dragon comme dans Final Fantasy IX.
- Et Arianrhod qui vient du panthéon celtique. Et que je découvre grâce à ce jeu car je ne la connaissais pas avant!
Toujours intéressant de voir que les mythologies avaient des divinités très similaires!
Sauf que dans The Hundred Year Kingdom, elles ressemblent à des waifus de Genshin Impact!
Alors, les divinités sont présentes pour nous conseiller durant notre partie.
L’écran derrière elle semble changer à chaque fois que le rang de notre civilisation augmente (Du rang E à A voire même à S?)!
J’imagine que chacune d’entre elles aura son caractère, ses avantages et ses inconvénients.
On gagne beaucoup d’or avec Okami (et donc de la production), je suppose que peut-être les autres divinités offrent d’autres récompenses?
Il semble cependant que toutes les deux années, vous allez vous promener avec elles pour découvrir le monde.
Et surtout obtenir des surprises qui amélioreront vos ressources.
Il parait aussi que l’on va leur donner la main.
Le jeu parle de “Skinship” sur Steam. En gros, pas de sexualité ou d’érotisme mais il semblerait que le pouvoir de l’Amour sera réquisitionné.
Mais vu que le jeu est disponible aussi sur la Nintendo Switch, je suppose que l’on ne verra rien.
Enfin, à voir, vu les “fortes doctrines” de Xenoblade 2 ahaha…
Je suis tout même étonné que cela ne soit pas un jeu présent sur les téléphones portables. Je le verrais bien jeu tactile et qui ne prendrait pas tant de place en mémoire!
J’espère surtout qu’il existera un mode permettant de ne pas avoir de limite de temps!
