Top 10 des raisons de regarder Casa de Papel

“Casa de Papel: Un homme mystérieux, surnommé le Professeur (El Profesor), planifie le meilleur braquage jamais organisé. Pour exécuter son plan, il recrute les meilleurs malfaiteurs du pays qui n’ont rien à perdre : Tokyo, Nairobi, Río, Moscou, Berlin, Denver, Helsinki et Oslo.

Le but est d’infiltrer la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre afin d’imprimer 2,4 milliards d’euros, en moins de onze jours et sans verser une goutte de sang. Pourtant, le groupe sera en charge de 67 otages dont Alison Parker, la fille de l’ambassadeur du Royaume-UniWikipedia »

1) C’est une série espagnole

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“La Casa de Papel n’étant rien d’autre que la maquette de la Fabrique nationale de la monnaie espagnole.”

Cela va vous changer des nombreuses séries états-uniennes. Vous allez pouvoir réviser l’espagnol en regardant cette série avec les sous-titres français. Pour une fois qu’une série ne soit pas uniquement en anglais et se déroule en Europe, cela offre une certaine fraîcheur. Il est temps pour vous d’apprendre quelques mots en espagnol ainsi que quelques expressions!
Salvador Dali ne vous sera plus inconnu!

2) Un plan de folie

Le professeur à la tête de cette organisation a planifié un plan qui devrait donner des idées à bien des braqueurs dans le monde. Un plan qui a nécessité plusieurs années et va réellement vous impressionner. Je me demande même si certains braquages n’ont pas demandés une préparation similaire.
Bien entendu, des problèmes imprévus apparaîtront mais la gestion et l’adaptation de nos héros sera juste exemplaire ou étonnante.

3) Une équipe de génie dans la Casa de Papel

Le professeur a su réunir une équipe d’individus aux domaines et compétences variés. De Tokyo la folle à Moscou l’expert en destruction, en passant par Rio le génie en informatique et électronique, l’équipe est surtout doté de caractères trempés qui vont forcément frictionner durant la prise d’otages.
Le plus surprenant est que chaque personnage porte un masque pour le braquage mais aussi un masque social qui disparaîtra petit à petit durant la prise d’otage.

4) Des otages qui sont loin d’être des figurants

Le directeur de la “casa de papel” dont la secrétaire est sa maîtresse, Alison Parker dont la relation avec les autres étudiants est anecdotique (oui des étudiants étaient présents durant la prise d’otage) etc… Les otages sont parti-prenante de cette série.
Ils sont instables et sont en partie la cause des imprévus du plan du professeur mais surtout au fur et à mesure que la prise d’otages dure, ils vont commencer à développer des relations tumultueuses entre eux voire avec leurs ravisseurs.
Ils vont essayer de s’enfuir, de comprendre ce qu’il se trame ou de coopérer.
Arturo risque de vous saouler, je pense.

5) Une division entre le Bien et le Mal qui s’atténue

Qui sont réellement les méchants et qui sont les gentils? Cette série va vous faire douter mais on comprends mieux la tactique du professeur lorsqu’il souhaite “conquérir les cœurs et les esprits”.
On s’attache fortement aux braqueurs tandis que l’on détestera certains membres des forces de l’ordre qui seront mauvais, hautains voire même criminels mais jamais soupçonnés ou autre car du bon côté de la Justice.
Peut-on parler de vol, excepté les papiers et l’encre qu’ils utilisent pour fabriquer les billets?

6) Des forces de l’ordre loin d’être idiotes

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“Comme les braqueurs, différentes compétences mises en synergie pour lutter contre le crime.”

Je pense que le plan du professeur aurait connu moins d’anicroches si Raquel, la négociatrice était restée à l’anniversaire de sa fille.
Si le génie du professeur vous impressionnera, sachez que les déductions souvent réelles voire quasi-omniscientes de Raquel, vous laisseront bouche bée.
De Juarez et ses forces spéciales, des renseignements généraux à l’ex de Raquel qui est une sacrée ordure mais surtout le meilleur membre de la police scientifique.
C’est assez intéressant car les forces de l’ordre souffre aussi de divisions internes non négligeables, ce qui les rend plus humaines.

7) Chaque épisode est intéressant

On est loin de ces séries ou le premier et le dernier épisode sont réellement intéressant tandis que le reste est du “remplissage” digne d’une copie de bachelier en philosophie. Chaque épisode a son lot d’événements, d’avancées, de changement d’avis ou autre.
Il suffit de rater un épisode pour ne pas comprendre la tournure de l’histoire tant les situations peuvent fluctuer à cause des nombreuses factions présentes (otages, braqueurs, forces de l’ordre, médias etc… sans compter les divisions internes).

Et je ne peux pas vous parler du magnifique couple qui se créera sous nos yeux.

8) Deux saisons sont disponibles

Une première de 13 épisodes et une seconde de 6 épisodes. Je ne sais pas si d’autres saisons verront le jour mais je vous dirais juste que l’histoire peut s’arrêter à la fin de ces 19 épisodes.
De toute manière, l’histoire est tellement prenante et dispose de très peu de temps morts que vous allez forcément regarder cette série d’une seule traite!
Les héros sont loin d’être des criminels lambdas mais juste des humains qui recherchent le bonheur.

Là où Ocean Eleven dure une heure et demie, cette série dure durant des dizaines d’heures.

9) Ocean Eleven en série

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“5 mois d’entraînements pour le plus grand casse de tous les temps.”

Pour résumer, vous avez une équipe qui n’a rien à envier aux Avengers qui tente de dérober 2.4 milliards d’euros.
C‘est juste fantastique, on est loin des malandrins qui volent dans les supermarchés.
Voilà le genre de crime qui mérite d’être tenté et surtout qui mettra les braqueurs à l’abri du besoin pour des générations.

De l’autre côté, vous avez des policiers avec un sacré flair qui s’adapteront.
Et avanceront à pas de loup vers la vérité et la fin de la prise d’otage. 
Ils passeront pour les méchants malgré leurs badges.

Et au milieu, les otages, déchirés entre les deux camps et qui forcément prendront eux-même partie dans les interactions.

10) Une série qui pousse à la réflexion monétaire

En effet, nos héros tentent d’imprimer des euros qui ne seront jamais retrouvés et seront surtout de vrais billets. Une critique de l’Euro et des banques est clairement présente surtout vers la fin de la série.
La division entre le Bien et le Mal s’appuie en partie sur l’argent imprimé indéfiniment par les banques centrales.

Une critique du papier qu’est le billet et qui ne repose que sur la confiance aveugle des populations.

𝗦𝘂𝗶𝘃𝗲𝘇 𝗺𝗼𝗶 𝘀𝘂𝗿 𝗺𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗮𝘂𝘅 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅 𝗹𝗲𝘀 𝗞𝘂𝗽𝗼𝘀! 𝗦𝗶𝗻𝗼𝗻, 𝗰𝗲 𝘀𝗲𝗿𝗮 𝘁𝗰𝗵𝗶-𝘁𝗰𝗵𝗶 (𝗽𝘂𝗶𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗼𝗿𝘁)!

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par Anders Noren.

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